Une étude de TNS-Sofres pour le compte de l’UNEDIC qui a porté sur 2004 allocataires  en activité réduite au deuxième trimestre 2011 montre que ceux qui travaillent à temps partiel trouvent plus facilement un emploi. 

Après six à huit mois d’activité réduite, 61,4 % des 2004 demandeurs d’emploi interrogés déclaraient avoir un emploi. L’activité réduite concerne alors 51,7 % des allocataires.

L’étude commandée par l’UNEDIC souligne un effet significativement positif de l’activité réduite : 

« Comparativement à l’ensemble des indemnisés sortant des listes de Pôle emploi, les personnes interrogées qui ont pratiqué de l’activité réduite avant de trouver un autre emploi, ont des natures de contrat proches : 43,5 % (hors contrats aidés) accèdent à un CDI, contre 39,3 % pour l’ensemble des sortants des listes. Surtout,  lorsqu’elles ne sont pas en CDI, elles occupent plus souvent des contrats d’un an ou plus. »

Le portage salarial fait partie des solutions pour exercer une activité réduite en période de chômage. Comme les autres formules, temps partagé, CDI à temps partiel), le portage salarial met le demandeur d’emploi en mesure de prouver ses compétences et d’être directement informé des emplois disponibles chez son client le temps de la mission. La plus importante des entreprises du portage, ITG, offre, en plus de la transformation des honoraires en salaire, la possibilité d’être réellement formé dans la durée pour faire de ce premier pas une activité à temps plein.