Digitalisation : le secteur de l’assurance passe à la vitesse supérieure

L’arrivée des insurtechs sur le marché de l’assurance a contribué à accélérer la digitalisation du secteur. En effet, ces nouveaux acteurs ont su offrir une expérience client plus fluide en accord avec les attentes des assurés. Toutes les opérations peuvent s’effectuer en ligne depuis la souscription jusqu’à l’indemnisation et la résolution des problèmes.

Ainsi, la relation des assureurs avec leurs clients évolue, et le service client laisse plus de place aux solutions numériques en vue de favoriser les interactions. Celles-ci permettent de fluidifier la circulation des informations et de gagner du temps.

Éviter les points de rupture

La digitalisation du secteur de l’assurance vise avant tout à éviter les points de rupture. De nombreux assurés se plaignent en effet de la discontinuité des interactions avec leurs assureurs. Ils se disent insatisfaits de la gestion de leur sinistre. Il s’agit d’ailleurs du motif invoqué par la plupart de ceux qui changent d’assureurs (85 %).

Le défi à relever est de fournir aux clients un parcours omnicanal.

  • Celui-ci garantit des interactions continues et une disponibilité en temps réel des informations aussi bien pour les collaborateurs que pour les assurés.
  • Ces derniers pourront alors bénéficier d’une totale transparence sur l’avancement de leur dossier.

L’usage des nouvelles technologies dans le parcours client nécessite l’intervention des experts IT, à l’instar des UX designers.

Souvent, ces professionnels sont engagés dans le cadre d’une mission de courte durée, et la plupart d’entre eux décident de travailler en tant que freelances. Afin de sécuriser son activité, l’UX designer peut choisir de devenir salarié d’une société de portage.

Le métier d’UX en portage salarial

Le portage salarial offre aux professionnels UX de tester la viabilité de leurs projets en toute sécurité.

Avec ce statut, ils peuvent préserver leur indépendance tout en bénéficiant d’une protection sociale similaire à celle des salariés classiques (contrat de travail, assurance chômage, congés payés, retraite…).

Ainsi, ils n’auront pas à se soucier de la gestion administrative de leur activité (établissement des contrats avec les clients, facturation, recouvrement, etc.).

En revanche, ils sont libres de choisir leurs missions et de fixer les prix de leurs prestations comme ils l’entendent.