Devenir consultant en portage salarial à Bourges

Exercer en tant qu’indépendant à Bourges tout en bénéficiant des avantages du salarié est possible grâce au portage salarial. Ce statut se présente en effet comme une solution intéressante pour les professionnels qui souhaitent devenir autoentrepreneurs et qui veulent sécuriser leurs activités. En devenant salarié porté, le travailleur s’affranchit des contraintes liées à la création et à la gestion d’une entreprise individuelle.

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      Le marché de l’emploi à Bourges

      Ayant développé une économie industrielle depuis des siècles, Bourges doit son dynamisme aux filières métallurgie et fonderie, mais aussi à l’armement. D’ailleurs, les acteurs principaux du secteur de la défense nationale ont choisi de s’établir dans cette ville connue depuis toujours comme étant la capitale du Berry.

      Les autres secteurs comme l’aéronautique, le tertiaire et le service public sont tous plus ou moins liés à la défense nationale.

      En ce qui concerne le marché de l’emploi, le taux de chômage à Bourges reste élevé (15 %). Le nombre de recrutements reste limité malgré la présence de plusieurs entreprises dans la ville, et la plupart des offres d’emplois concernent des missions en intérim.

      Devenir salarié porté à Bourges

      Travailler en portage salarial à Bourges s’avère ainsi avantageux, d’autant plus qu’il est possible d’exercer sous cette forme d’emploi peu importe le profil du concerné (retraité, demandeur d’emploi, etc.).

      Le parcours du salarié porté se résume comme suit :

      1- Recherche d’une mission auprès d’une entreprise cliente

      Cette démarche nécessite une prospection commerciale et des recherches actives au sein de ses réseaux professionnel et personnel. L’inscription sur des plateformes de freelance permet également de trouver plus facilement des missions.

      2- Choix de la société de portage salarial

      Après avoir obtenu une mission auprès d’un client, il faut choisir une société de portage suivant différents critères, entre autres le montant des frais de gestion, la notoriété de la société de portage, l’étendue de son réseau, la solidité financière, ou l’accompagnement et les services proposés aux salariés portés.

      3- Signature d’un contrat de travail en portage salarial

      Pour devenir salarié porté, le consultant doit signer un contrat de travail avec la société de portage qu’il a choisie, qui peut consister en un CDD ou un CDI, en fonction de la durée de la mission.

      S’il s’agit d’un CDI, le salarié porté peut ne pas percevoir de rémunération entre deux missions si le chiffre d’affaires (CA) réalisé ne couvre pas les périodes creuses. Il est ainsi préférable d’opter pour un CDD lors du démarrage de son activité en portage salarial.

      4- Exécution de la mission auprès de l’entreprise cliente

      Une fois le contrat de travail signé, le salarié porté peut commencer à réaliser ses missions selon les modalités d’exécution convenues entre lui et le client (lieu et conditions de travail). Il peut ainsi intervenir directement dans les locaux de l’entreprise ou travailler chez lui ou dans un espace de coworking.

      5- Présentation d’un compte-rendu d’activité

      La présentation d’un compte-rendu d’activité à la fin de chaque mission est une obligation qui incombe au salarié porté. Une étape nécessaire pour l’établissement de la fiche de paie par l’entreprise de portage et pour la vérification du respect des délais et de la charge de travail. Ce document doit indiquer précisément les dates d’exécution de la mission (journées ou heures) et les différentes périodes d’activité durant l’intervention (mission, congé maladie…).

      6- Perception du salaire

      Le chiffre d’affaires réalisé par le salarié porté est transformé en salaires mensuels. Après avoir validé le compte-rendu d’activité, la société de portage prélève les cotisations sociales et patronales et les frais de gestion, et verse le montant restant au consultant au titre de salaire. Il faut préciser que ce dernier doit toucher au minimum 77 % de la sécurité sociale.