Le phénomène de « Big Quit » fait tache d’huile en Europe

Né de la crise du covid-19 en 2020 aux États-Unis, le « Big Quit » ou la « Grande démission » en français est un phénomène qui prend de l’ampleur et fait tache d’huile en Europe. La France n’est pas non plus épargnée : de plus en plus de salariés en quête d’autonomie et aspirant à de meilleures conditions de travail quittent leurs emplois lors de ces deux dernières années.

Cette évolution du monde de travail crée des tensions sur le marché. En effet, de nombreuses entreprises font face à des difficultés de recrutement, notamment dans certains secteurs comme les services à la personne, l’hôtellerie et la restauration.

Les travailleurs recherchent le bien-être et l’épanouissement personnel

Ayant pris goût au télétravail, les salariés veulent bénéficier de conditions de travail plus flexibles afin d’assurer leur bien-être et l’équilibre entre la vie professionnelle et la vie personnelle.

Un grand nombre d’entre eux n’hésitent pas à démissionner et se reconvertir afin de pouvoir lancer une activité en indépendant.

Et parmi ceux qui ont décidé de franchir le pas, plusieurs ont choisi de se tourner vers des métiers dans le numérique.

Parmi les secteurs qui ont pu tirer profit de la crise sanitaire, celui du digital multiplie les recrutements.

Outre les rémunérations attractives, les entreprises offrent également aux collaborateurs la possibilité de travailler à distance.

Ceux qui veulent rester indépendants peuvent travailler à leur rythme et négocier les prix de leurs prestations.

Ils peuvent même mener des missions à l’étranger.

Dans ce cas, le portage salarial international s’avère être la solution la plus adéquate, car le consultant bénéficie d’un accompagnement sur mesure dans la gestion administrative de son activité.

Le portage salarial pour sécuriser ses missions à l’international

En optant pour le portage salarial, le freelance est libéré des contraintes liées à l’établissement du contrat de prestation de service avec le client étranger. En effet, ceci est pris en charge par la société de portage avec laquelle il a signé un contrat de travail. Cette dernière s’occupe également de la facturation et de l’encaissement.

En principe, il convient de négocier un package de rémunération incluant tous les frais fiscaux et les prestations sociales avec le client.

Chez ITG, nous conseillons le salarié porté sur le package à négocier en fonction de sa situation personnelle, du pays d’exercice de la mission et de son statut (expatrié ou détaché).