Un tour de table de 25 millions d’euros pour Yomoni

Pour développer son activité, Yomoni, fintech spécialisée dans la gestion d’épargne en ligne, vient de boucler un tour de table de 25 millions d’euros. Ladite somme a été récoltée dans le cadre d’une levée de fonds menée auprès de ses investisseurs historiques. La jeune pousse devrait maintenant être en mesure d’enrichir son offre en ligne, mais aussi d’embaucher de nouveaux talents.

Proposer une épargne performante

En tant que fintech,

 Yomoni base son business model sur un algorithme qui détermine les placements les plus adéquats selon le profil des clients, mais aussi les placements, dont les frais de gestion sont les plus abordables,

Un argument qui fait mouche dans un contexte marqué par l’inflation.

À ce jour, le catalogue d’offres de la start-up comprend des solutions d’épargne, allant de l’assurance vie au compte titre, en passant par le plan d’épargne retraite (PER) ou encore le plan d’épargne action (PEA).

Avec les nouveaux fonds, Yomoni entend bien enrichir son offre avec d’autres produits, mais la start-up compte également renforcer son effectif en embauchant de nouveaux talents, notamment pour améliorer davantage sa plateforme en matière d’ergonomie et d’expérience client.

Pour le moment, la start-up n’envisage pas de proposer autres que des produits d’épargne à ses clients. En se concentrant sur un seul type de produit, elle se dit plus à même de bien les conseiller et de bien les accompagner, mettant à leur service l’expertise humaine combinée aux innovations technologiques.

Recruter via une société de portage salarial

Pour le recrutement de talent qu’elle prévoit afin d’apporter des améliorations à sa plateforme, Yomoni pourrait très bien faire appel à une société de portage salarial.

Grâce à cette solution, le gain de temps est considérable puisque la société de portage l’orientera immédiatement vers les meilleurs profils.

 Une fois engagé, le salarié porté sera en mesure de se consacrer entièrement à sa mission, toutes les autres tâches administratives liées à son activité étant prises en charge par l’entreprise de portage.

Il faut néanmoins préciser que le salarié embauché par le biais d’une société de portage ne pourra pas rester au sein de l’entreprise donneuse de mission plus de 18 mois.