Dans une optique de « croissance économique durable et inclusive », il convient d’investir « dans le capital humain que représentent les jeunes Européens » : c’est de ce constat qu’est née la recommandation du Conseil de l’Europe sur l’établissement d’une « Garantie pour la jeunesse » que la France décline à sa manière.

Chômage et emploi des jeunes diplômés

La Garantie pour la jeunesse : Ersatz ou panacée ? Comment valoriser les jeunes diplômés qui ne trouvent pas d’emploi ?

La « Garantie pour la jeunesse », dispositif au secours d’une jeunesse au chômage

Avant tout, qu’est-ce qu’une « garantie-jeunes » ?

Pour l’incontournable Organisation Internationale du Travail (OIT), une acception rigoureuse voudrait qu’il s’agisse d’un « droit à un emploi, à une formation ou à un enseignement pour un groupe défini de jeunes et une obligation pour le service public de l’emploi (SPE) ou une autre administration de fournir les services et/ou de mettre en œuvre les programmes dans un certain délai ».

Elle suppose que ces jeunes satisfassent des « critères préétablis » au titre desquels l’on retrouve globalement la durée de la période de chômage ainsi que le niveau d’instruction : il n’y a donc pas de critère de condition sociale stricto sensu, ce qui dit assez combien la problématique du chômage ne se résume pas qu’aux jeunes socialement exclus et sans diplôme, comme l’illustre l’expérimentation de jeunes de Bondy accueillis à l’Assemblée nationale.

Comme souvent en matière d’emploi, l’innovation a vu le jour dans les pays scandinaves. Les premiers pays à avoir expérimenté la garantie-jeunes sont la Suède, la Norvège, et le Danemark, suivis en cela par l’Allemagne, l’Autriche, la Pologne ou les Pays-Bas, où les résultats se sont montrés concluants, au point que la France s’en est à son tour saisie. Une phase pilote a concerné 10 000 jeunes en 2013, « puis 30 000 jeunes à compter d’octobre 2014 ». Et avant d’être généralisée à un rythme de 100 000 jeunes par an, « elle fera l’objet d’une évaluation pilotée par un comité scientifique dont les conclusions seront rendues au cours du second semestre 2015 ».

Comme évoqué supra, la recherche d’un premier emploi en tant que finalité intégrative des jeunes concerne aussi les plus diplômés d’entre eux.

Trouver son 1er emploi quand on est jeune diplômé :
une fin en soi ?

Et pour cause, comme le révèle une intéressante étude menée sur un an,  ayant analysé « 140 000 documents » et publiée en mai 2014, « le 1er emploi n’est pas considéré comme le job de rêve » : il s’agit tout juste de « sécuriser l’entrée sur le marché du travail ». Et de souligner le caractère prégnant des réseaux sociaux en général, de Twitter en particulier : en effet, 86,2% des « mentions de la recherche (…) du premier emploi prennent (…) place » sur Twitter, outil que les jeunes diplômés favorisent « pour la visibilité, leur personal branding ».

Premier thème abordé ? Le salaire ! Selon en outre que l’on soit un homme ou une femme, on se préoccupe davantage :

  • de la valorisation pour les premiers, soucieux d’être titulaire du statut de « cadre » ;
  • de stabilité pour les secondes car, comme le souligne la presse spécialisée, « le CDI reste (…) une finalité ».

L’on sait à ce sujet que le succès quantitatif des stages s’explique notamment par le refus fréquent pour bien des entreprises de recruter les jeunes diplômés en CDI. C’est d’ailleurs à cela qu’un économiste de l’OFCE attribue l’échec des contrats de génération.

Le pari de la stabilité ET de la valorisation des jeunes diplômés : l’exemple du portage salarial

Oui, nous l’affirmons sans ambages la formule du portage salarial, fait le pari de la valorisation et de la stabilité pour les jeunes diplômés.

De la valorisation tout d’abord. Car rejoindre une entreprise de portage comme ITG, c’est la garantie de bénéficier d’un accompagnement et de formations assurés par nos soins et qui garantissent une transition professionnelle de qualité en amont, ainsi que le bon déroulement de la mission du porté en aval. En effet, puisque devenir entrepreneur ne s’improvise pas, nous proposons un parcours personnalisé et unique visant à vous permettre soit de trouver une nouvelle activité professionnelle, soit de développer votre activité autonome.

De la stabilité ensuite : faisant le pari de la confiance, la société de portage propose d’emblée un contrat de travail à ses consultants – jeunes diplômés, avec tous les avantages du régime salarié que cela suppose, comme les cotisations à l’assurance chômage ainsi qu’aux régimes de retraites.

Jeunes diplômés désireux de vivre une véritable première expérience responsabilisante, que vous ayez une spécialisation en matière de ressources humaines, d’informatique, de management de projets, de communication, de télécommunications, d’audit  il n’y a plus de temps à perdre : faites le pari de l’accompagnement sécurisé avec le portage salarial.